Contenu miroir
Une université professionnalisante
Avec plus d’une centaine de formations en alternance, l’Université Gustave Eiffel est la première université professionnalisante en France avec un quart de nos étudiants et étudiantes en apprentissage ou contrat de professionnalisation. Notre offre de formation est pensée pour offrir des débouchés adaptés au monde socio-économique quel que soit la discipline ou le domaine de formation.
En fonction de votre situation, étudiant, étudiante en formation initiale ou professionnel en reprise d’études, nous pourrons vous accompagner via nos équipes pédagogiques, nos CFA partenaires ou encore via notre service Formation continue et VAE.
Et si vous avez des envies d’entrepreneuriat, grâce aux dispositifs PEPITE (Pôle Étudiant Pour l’Innovation, le Transfert et l’Entrepreneuriat), l’université pourra vous accompagner dans votre projet depuis l’idéation jusqu’à la pépinière !
L'apprentissage à l'Université Gustave Eiffel
Près de 25% de nos étudiants et étudiantes sont en apprentissage
L’Université Gustave Eiffel est la première université en France en matière de formation en apprentissage. Depuis plus de quinze ans, à travers ses différentes composantes et établissements, elle développe l’apprentissage dans de nombreuses formations, favorisant autant une pédagogie reposant sur l’alternance que l’employabilité et l’insertion professionnelle des étudiantes et étudiants.
L’université compte près de 4 200 étudiantes et étudiants en apprentissage, soit environ 25% de ses étudiants répartis dans plus de 90 diplômes de bac +2 à bac +5 : BUT, licence générale, licence professionnelle, master et diplôme d’ingénieur, diplôme d’architecte...
Ils concernent l’ensemble des domaines de formation : sciences humaines et sociales, sciences économiques et gestion, lettres, arts et langues, mathématiques, informatique, physique, etc.
Les formations en apprentissage de l’Université Gustave Eiffel conjuguent exigences académiques et qualité des missions confiées aux étudiantes et étudiants apprentis par les entreprises. La qualité du dispositif de formation par alternance repose dès lors sur un suivi rigoureux de l’apprenti en entreprise et à l’université ainsi que sur un partenariat étroit entre l’équipe pédagogique et l’entreprise d’accueil.
Nous travaillons dans une optique d’insertion rapide de nos étudiants sur le marché du travail. Dans cette perspective, nous mettons ainsi l’accent sur l’apprentissage et la qualité des missions confiées à nos apprentis et veillons à la qualité des relations entre étudiants et maîtres d’apprentissage.
Muriel JougleuxVice-présidente Partenariats et Professionnalisation de l’Université Gustave Eiffel
Création d’un service de formation par apprentissage (SFA) : l’université internalise la gestion des apprentis ingénieurs
Déjà première université de France en matière de formation en apprentissage, l’Université Gustave Eiffel a poursuivi sa dynamique et franchi une nouvelle étape en 2021 : depuis le 1er janvier, l’établissement a internalisé la gestion des contrats d’apprentissages d'ESIEE Paris en créant son propre service de formation par apprentissage (SFA).
« Cela a concerné 759 étudiants-ingénieurs » précise Fabien Dangel, directeur développement à ESIEE Paris et responsable du SFA. À terme, l’ensemble des contrats d’apprentissage des écoles d’ingénieurs de l’université – ESIEE Paris, ESIPE, EIVP et ENSG – seront gérés par ce service mutualisé. « Notre ambition est de devenir le premier CFA de France en nombre d’apprentis ingénieurs, souligne Fabien Dangel. Le SFA facilitera le déploiement de l’apprentissage dans les autres écoles d’ingénieurs. »
« La création du SFA préfigure une montée en puissance de l’apprentissage dans toutes nos écoles d’ingénieurs. »
Venceslas Biri, vice-président Formation et innovation pédagogique
L'Université Gustave Eiffel est en plus partenaire du CFA Descartes. Ce Centre de Formation d'Apprentis dispense une formation générale, associée à une formation technologique et pratique. Il complète la formation reçue en entreprise et assure la coordination avec celle-ci.
Future Days Lille : retour sur le deuxième acte des Future Days 2024
Pour l’édition 2024, les Future Days se sont fixés un thème général : « L’eau : une ressource essentielle à maîtriser ». Chacun des campus proposent une déclinaison différente de ce thème. Pour le 2ème acte à Lille le 13 septembre, c’est le sujet : « Quelles potentialités de report modal vers le fluvial dans la perspective du canal Nord Europe » qui a été choisi.
« L’enjeu des Future Days est de montrer la diversité des approches que permet la variété des compétences rassemblées au sein de l’Université Gustave Eiffel. Quand on parle d’eau, on pense pollution, on pense risque, on pense gestion de l’eau dans les villes mais l’eau renvoie aussi à la mobilité et en particulier au transport fluvial, et il était important de montrer que l’université traite aussi ces sujets, puisqu’elle dispose d’un des rares laboratoires français consacré au transport de marchandises et de logistique. Et par ailleurs, l’ambition des Future Days était aussi de montrer que chaque territoire sur lequel nos campus sont implantés a des enjeux particuliers par rapport à la thématique, et en région Hauts de France il nous a paru aussi évident de parler de ce grand projet d’aménagement qu’est le Canal Seine Nord Europe, qui va relier Compiègne, dans l’Oise, à Aubencheul-au-Bac, dans le Nord, d’ici 2030. Ce canal à grand gabarit est un maillon essentiel de la liaison fluviale Seine-Escaut, qui connectera le réseau français aux 20 000 km de voies européennes. »
Pour répondre à toutes les questions qui se posent, la matinée a été organisée autour de deux séquences. Pour la première de ces séquences, François Combes, co-directeur du département Aménagement, Mobilités, Environnement (AME) et économiste au laboratoire Systèmes Productifs, Logistique, Organisation des Transports et Travail (SPLOTT), a fait une présentation cadre pour offrir une première définition de ce qu’est le report modal dans le transport de marchandise, ses intérêts et limites ainsi que les conditions de sa mise en place. La conférence a ensuite laissée place à des échanges avec les professionnels du secteur présent dans la salle, chargeurs, armateurs et aménageurs, avant le lancement de la table ronde.
La table ronde regroupait un panel d’acteurs du transport fluvial locaux, animée par Michel Savy, professeur émérite à l’Ecole d’Urbanisme de Paris et à l’Ecole des Ponts et Chaussées et directeur de l’Observatoire des politiques et des stratégies de transport en Europe. Les participants de cette table ronde représentaient chacun un maillon différent de l’économie et de la chaine logistique du transport fluvial. Nous avons ainsi pu entendre un représentant des gestionnaires des infrastructures avec Ferenc Szilagyi, le directeur général du port de Lille, un représentant des chargeurs avec Fabrice Accary, directeur général de l’Association des Utilisateurs de Transports de Fret (AUTF), un transporteur en la personne de Steve Labeylie, responsable des relations institutionnelles pour le groupe Sogestran, ainsi que le directeur commercial de la plateforme multimodale Delta 3 Eric Guenther. Les échanges ont portés sur le développement du fret fluvial dans la région et des transformations apportés par le futur canal.
« Les Future Days sont construits pour faire dialoguer la recherche, d’où l’intervention de cadrage de François Combes sur le choix modal, et les professionnels des chaînes logistiques, dans leur diversité. Ils sont nombreux et il a fallu faire des choix, mais nous avons voulu entendre le point de vue des chargeurs (les entreprises qui envoient des flux de marchandises), des armateurs, qui vont être impliqués très directement dans le transport, et aussi des opérateurs d’infrastructures, que ce soit les ports fluviaux ou les plates-formes multimodales, les marchandises devant passer par ces infrastructures pour être chargées sur les barges. L’enjeu est de montrer qu’il s’agit bien d’une chaîne, où la coordination entre tous les maillons est essentielle. »
Les discussions initiées durant la matinée se sont ensuite poursuivies autour d’un déjeuner convivial. Durant l’après-midi les participants ont pu prendre part à un atelier fresque de l’eau.
« Comme je l’évoquais, le dialogue entre la recherche et les acteurs de terrain, entreprises, collectivités est essentiel. C’est vraiment ce que permettent ces Future Days, en facilitant le partage des résultats de recherche, en permettant aussi de faire émerger de nouvelles questions de recherche, de nouveaux projets, voire même en ouvrant des terrains pour mettre en œuvre des travaux. Les perspectives associées aux Future Days sont nombreuses, mais toujours en lien avec la responsabilité sociétale de l’université, qui nous tient particulièrement à cœur. »
Les Future Days 2024 se poursuivent, l’acte IV le 8 octobre sur le campus Méditerranée, l’acte V le 17 octobre sur le campus de Paris et l’acte VI le 24 octobre sur le campus de Lyon sont ouvertes. Rendez-vous sur la page des Future Days pour vous inscrire !
Une université professionnalisante
Avec plus d’une centaine de formations en alternance, l’Université Gustave Eiffel est la première université professionnalisante en France avec un quart de nos étudiants et étudiantes en apprentissage ou contrat de professionnalisation. Notre offre de formation est pensée pour offrir des débouchés adaptés au monde socio-économique quel que soit la discipline ou le domaine de formation.
En fonction de votre situation, étudiant, étudiante en formation initiale ou professionnel en reprise d’études, nous pourrons vous accompagner via nos équipes pédagogiques, nos CFA partenaires ou encore via notre service Formation continue et VAE.
Et si vous avez des envies d’entrepreneuriat, grâce aux dispositifs PEPITE (Pôle Étudiant Pour l’Innovation, le Transfert et l’Entrepreneuriat), l’université pourra vous accompagner dans votre projet depuis l’idéation jusqu’à la pépinière !